• Dialectique philosophique des Oupanichads


    Dialectique philosophique des Oupanichads

    De toutes choses au commencement, mon ami, il n’y avait, seul et sans second, que l’être. Quelques-uns disent, il est vrai : De toutes choses, au commencement, il n’y avait, seul et sans second, que le néant. De ce néant, naquit l’être.

     

    Mais comment, continua-t-il, en serait-il ainsi, mon ami ? Comment l’être naîtrait-il du néant ? En vérité, c’est l’être qu’il y avait au commencement, l’être, seul et sans second.

     

    Chandogya Oupanichad.

    « Le Bouddhisme: LES Bénédictionsle bouddhisme : Le prince mendiant »

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    1
    Mardi 13 Janvier 2009 à 15:54
    Pierre G
    petite variation:
    pierre dit "au commencement était le néant.. puis l'être est né du néant, et c'est là que ça a commencé à partir en live!"
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :