-
Poème: Néère par André CHÉNIER
Femme Orientale
Odilon Redon
1895-1900
Néère
Leur ombre vagabonde, à travers le feuillage,
Frémira; sur les vents ou sur quelque nuage,
Tu les verras descendre; ou, du sein de la mer
S'élevant comme un songe, étinceler dans l'air;
Et leur voix, toujours tendre et doucement plaintive,
Caresser en fuyant ton oreille attentive.
« CARTES VIRTUELLES GRATUITES RAMADAN: " MABROUK RAMADAN-BON RAMADAN"Poème sur L'ART: L'art- Théophile Gautier »
Tags : neere, chenier, andre, travers, vagabonde
-
Commentaires
Bonsoir Fathia, je viens de t'envoyer une invitation sur facebook, merci d'avoir pensé à moi, bisous Lucye
Ajouter un commentaire
Très jolis vers Fathia . Il est vrai pour ce qui concerne la musique "classique" orientale que ces sons chromatiques offrent une sensualité à la voix que j'apprécie breaucoup comme une plainte parfois... je t'embrasse mon amie du soleil ! à bientôt !