• « J'aimerais être riche et si je l'étais, je donnerais à tous ses enfants de la nourriture des vêtements, des médicaments, un abri, de l'amour et de l'affection. Et un enfant dans la rue qui n'a rien et il est partant pour partager !!!
    Pourquoi nous que nous avons tout sommes si avares ?

    Je ne peux pas m'empêcher de penser qu'il est un enfant de mon âge et que ça fait une immense différence où on naît.

     

    Et que je pourrais être un de ses enfants vivant dans les favelas de RIO.
    Je pourrais être un enfant mourant de faim en SOMALIE
    Ou victime de la guerre au MOYEN-ORIENT
    Ou un mendiant en INDE

    Je suis seulement une enfant, pourtant je sais...
    Quel endroit merveilleux cette terre serait !
    Que si l'argent dépensé en guerre était utilisé pour trouver des réponses de l'environnement à en finir avec la pauvreté.
    A l'école, même dans le jardin d'enfant, on n'apprend comment comprendre se comporter dans le monde
    Vous nous apprenez à ne pas nous battre entre nous, de travailler dur à respecter les autres, à faire son lit, à ne pas blesser d'autres créatures à partager sans avarice.
    Alors pourquoi sortez-vous et faites-vous les choses que vous nous dites de ne pas faire ?
    N'oubliez pas pourquoi vous assistez à ces conférences pour qui vous le faites.
    Nous sommes vos propres enfants, vous décidez dans quel genre de monde nous allons grandir.
    Les parents doivent être capables de consoler leurs enfants en disant : Tout ira bien. Ce n'est pas la fin du monde, et nous faisons du mieux que nous pouvons.
    Mais je pense que vous pouvez encore dire ça :

    Sommes-nous seulement dans vos listes de priorités ?
    Mon père disait : "tu es ce que tu fais et non ce que tu dis".
    Bien ce que vous faites me fait pleurer la nuit.
    Vous ne continuez à nous dire que vous nous aimez

    Mais je vous mets au défit, S'il vous plait !
    Fait que vos actions reflètent vos mots.
    Merci



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  • Brésil : Une favela (les bidonvilles brésiliens)

     

    Une favela désigne actuellement les bidonvilles brésiliens. Il s'agit de quartiers situés sur des terrains occupés illégalement, le plus souvent insalubres (marécages, pentes raides des collines), et dont les habitations sont construites avec des matériaux de récupération.

    Les bidonvilles brésiliens les plus connues et les plus étendues se trouvent dans la ville de Rio de Janeiro appelé les favelas de Rio, qui en compte près de 800 et rassemble le tiers de la population urbaine.

     

    L’histoire de l’origine des favelas s’est longtemps résumée au récit de l’occupation, à la fin du XXe siècle,  arpès la Guerre de Canudos au Brésil, quand les soldats, installés sur un morro (colline) de cette région, le Morro da Favela appelé ainsi à cause de la grande quantité de la plante Favela (Jatropha phyllacantha ; famille des Euphorbiacées), en retournant à Rio de Janeiro, s'installèrent avec leurs familles sur le Morro da Providência. En souvenir des événements marquant qu'ils venaient de vivre, ils le nommèrent du nom de leur ancien lieu de séjour guerrier de l'État de Bahia. Le nom devint un courant synonyme de quartiers pauvres à partir de 1909.

     

    Situation actuelle des favelas (bidonville en français) de Rio

     

    Les difficultés des favelas sont nombreuses :

     

        * Manque d'infrastructures (égouts par exemple)

        * Misère

        * Violence : les gangs de la drogue se font la guerre dans les rues

              o En 2007, 1260 personnes ont été abattues par la police à Rio, une hausse de 18,5% sur 2006, selon des statistiques officielles.[1]

        * trafics illégaux de drogue, de fusils d'assaut AK 47...

     

    À Rio, les habitants opposent les favelas à l'« asphalte », qui désigne les quartiers aisés ou de classes moyennes. Certains hôtels proposent un tour guidé à la favela de Rocinha, qui fut visitée en son temps par le pape Jean-Paul II.

    Il est cependant important de rappeler qu'une majorité de cariocas habitant dans les favelas sont des gens "ordinaires" qui n'ont aucune connivence avec les mafias. Beaucoup d'entre eux ont un travail, comme femme de ménage, chauffeur de bus, de taxi, chauffeur pour les transports touristiques... et même des policiers, donc il ne faut pas oublier que ce sont des personnes pauvres, et non pas uniquement des mafieux, dont les chefs dirigeants habitent pour leur part dans l'« asphalte »... Il est important aussi de rappeler qu'il est déconseillé de se promener dans ces quartiers sans être bien accompagné.

     Les habitations faites de cartons ou de matériaux trouvés par les habitants des favelas, ne sont pas insonorisées et on peut entendre tout ce qui se passe aux alentours.

    Depuis quelques années, des tours opérateurs organisent des visites guidées des favelas de Rio de Janeiro. La demande concerne 5% des touristes qui viennent visiter la ville.




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