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Par fathianasr dans Poèmes choisis le 10 Novembre 2008 à 21:21Vers Kairouan (1890) Nous quittons Tunis par une belle route qui longe d’abord un coteau, suit un instant le lac, puis traverse une plaine. L’horizon large, fermé par des montagnes aux crêtes vaporeuses, est nu, tout nu, taché seulement de place en place par des villages blancs, où...